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Hommes divorcés : 5 raisons de vous tourner vers les Femmes de l'Europe de l'Est ! Tournez vous vers les femmes de l'Europe de l'Est

Hommes divorcés : 5 raisons de vous tourner vers les Femmes de l'Europe de l'Est !

1 février 2019

Vous me direz que nous défendons notre chapelle en prônant l’amour des femmes slaves, russes ou ukrainiennes. C’est bien normal et par ailleurs deux couples existent dans l’agence, le premier, le principal est celui d’Antoine Monnier, qui est le directeur et fondateur de l’Agence CQMI, marié à une Ukrainienne de l’Ouest du pays. Le second mineur mais qui compte aussi par l’esprit est celui d’Hervé, auteur et correspondant de l’agence à Moscou, marié quant à lui à une femme russe, née dans la diaspora soviétique envoyée dans les républiques sœurs de la défunte URSS. Antoine et Hervé, deux Français, quasiment de la même région, Bourgogne, Franche-Comté, ont des parcours très différents, mais ils ont en point commun une expatriation dans un pays étranger, le premier au Canada depuis 22 ans, le second en Russie depuis 10 ans. Ils ont aussi en commun un mariage avec une femme slave et un divorce compliqué. Le divorce c’est souvent le déclencheur traumatisant, le cataclysme qui s’abat sur les hommes qui se retrouvent alors confronté au défi de « réussir leur divorce ».

L’homme romantique de France et d’ailleurs… marchant bravement au supplice !

Lorsque j’entamais moi-même mon divorce, je fis l’erreur humaine d’accepter de prendre l’avocate de mon épouse pour un divorce à l’amiable, afin d’aller vite et bien, de ne pas construire un conflit, dans l’intérêt aussi de mes enfants et de ce que je croyais être mes intérêts. Cette avocate (féministe) qui en réalité n’était là que pour défendre la cause de mon épouse, m’indiqua que je devais « réussir mon divorce ». Mais qu’entendait-elle par là ? Dans un long discours, cette personne caustique m’expliqua par le menu, que les « vrais » hommes devaient réussir leur divorce afin de montrer, pour une fois, qu’après avoir été « si mauvais » ou « si méchants », ou les deux à la fois, ils pouvaient dans le divorce au moins « sauver la face ». Dans ce discours qui se transforma bientôt en pression, en voulant me faire signer une convention collective de divorce à l’amiable (désavantageuse), je me devais donc de faire un pont en argent à mon épouse, dans l’intérêt « des enfants », de laisser un maximum d’avantages matériels mobiliers, voire même d’être encore plus généreux, de payer une pension alimentaire qui serait 8 fois plus importante que celle décidée au départ et représenterait un total de 40 % de mon salaire. Plus tard il me fut signifié que je devrais me montrer « noble » et « bon prince », en passant des vacances avec ma future ex-femme et son compagnon, d’accepter de faire Noël « en famille » et d’entretenir des relations les plus cordiales possibles. Trois mois plus tard je débarquais cette avocate que je récusais, quelques années plus tard… j’épousais une femme slave. Quelles raisons m’avaient décidé à entamer ce chemin ?

La matraque punitive du divorce.

 Les témoignages sont rares, surtout des hommes qui complètement lessivés, dépouillés et maltraités ont honte de témoigner. Dans mon cas, on me fit ressentir dans mon entourage que j’étais coupable, je ne savais pas vraiment de quoi, mais j’étais « le coupable ». Je n’avais jamais violenté mon épouse, j’avais toujours été aimant, nous avions deux enfants que j’adorais, je n’étais pas un alcoolique, un drogué, j’avais un travail fixe, des revenus, une maison avec seulement 7 ans de traites encore à payer (à 35 ans), ce qu’il faut pour vivre, des amis, une famille, des relations normales avec les gens. D’un coup j’étais « un criminel »,  « l’homme mauvais » qui avait échoué. Pour nous les hommes dont les femmes partent, et dans mon cas (je ne l’appris que 4 ans plus tard), ayant été trompé avec un ou plusieurs autres hommes, l’on ressent à la fois de l’humiliation, du désespoir, de la culpabilité. C’est celle du regard des autres, des voisins. Notamment quand pour se trouver en position de force, mon épouse avait raconté une histoire « fantaisie » sur les raisons de son départ, prétextant un homme psychologiquement violent, impossible à vivre, voire même méchant. Ainsi dépouillé de votre dignité, de votre réputation, de votre famille se retournant contre vous, accusé de faits non véritables mais dont vous devez vous défendre, placé dans la position du criminel, vous perdez rapidement le contact avec l’immense majorité de vos familles, des amis vous tournent le dos, des collègues en font de même, vous laissez une maison et repartez plus pauvres que vous n’étiez en y entrant jeunes mariés.

 

5 raisons de se tourner vers une femme slave, russe ou ukrainienne.

1- Après un divorce, la femme occidentale devient suspecte.

Dans un certain nombre de cas, comme dans le mien, ces divorces que j’appelle subis, sont aussi parfois couplés avec une guerre. Non pas que celui qui subit le divorce, le départ, soit dans la vengeance, mais qu’il doive aussi affronter la violence d’une agression psychologique durable de son ancienne épouse. Nous ne sommes pas là pour faire cette analyse qui serait intéressante, mais cette position de faiblesse aura eu dans mon cas des effets très positifs :

a- un travail sur moi-même pour comprendre que je n’étais pas un coupable,

b- un travail pour comprendre où j’avais été réellement partiellement (car on est toujours deux dans un couple) en cause dans le chemin jusqu’au divorce,

c- un travail sur moi-même pour (vite) comprendre que le divorce n’était pas un échec,

d- un travail pour comprendre les raisons motivantes de mon épouse à partir et demander le divorce, e- un travail pour comprendre ce que je voulais pour mon avenir.

Dans toutes ces phases, je me retrouvais finalement bonifié, ayant compris mes erreurs, ayant vu ceux de mon épouse, et je me retrouvais alors dissocié complètement de cette ancienne histoire. Entre l’annonce du départ, ce grand désespoir, ma réaction et compréhension complète de ces problématiques, il s’était passé environ 4 mois seulement. J’arrivais ensuite à la conclusion, par la fréquentation des sites de rencontres, des associations de divorcés ou de gens en instance de divorce qu’il restait peu de femmes intéressantes autour de moi. Je découvrais aussi que le monde féminin n’était pas du tout ce que j’avais imaginé. La femme occidentale m’apparaissait à travers les affres du divorce, suspecte, carriériste, intéressée par l’argent, égoïste, infidèle, vénale, vicieuse, méchante et sexiste. Après ce constat je me tournais vite vers l’Est… si je ne l’avais pas fait qui sait quelle vie misérable j’aurais vécu en France, de souffrances et de nouveaux échecs ?

2- Le grand Amour. 

Des hommes se reconnaîtront en moi, j’en connais dans mes amis qui toujours, depuis leurs plus jeunes années de garçon, ont rêvé du grand amour, d’une femme qui serait l’unique, le joyau de votre vie, la mère de vos enfants, la femme des romans, un idéal, celle de la mère, de l’amante, de l’amoureuse. Je m’émerveillais de longue date des femmes, de leur beauté, de leur diversité et j’aimais certaines d’entre elles, parfois dans le secret des pudeurs de l’adolescence.  Je découvrais leur beauté et j’admirais aussi leur intelligence, j’imaginais un feu qui brûle, chaleureux et doucereux, une maison joyeuse avec des enfants qui rient, un jardin ensoleillé et des petits plaisirs de rien. Je comprenais au bout du chemin que jamais, ou presque jamais, je n’avais croisé dans ma vie, en France ou dans les pays occidentaux de femmes qui avaient rêvées comme moi de ce grand amour. Je ne découvris de telles femmes qu’en Russie, qu’en Ukraine, que dans les pays slaves, où l’amour est une chose qui est vraiment vivante, il existe un romantisme et une chaleur slave pareille à nulle autre… sauf à l’idéal romantique d’un petit français… qui écrit en ce moment ces lignes ! Il y a une osmose des cœurs entre le francophone et le russophone !

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3- Le sexisme.

Dans mon cas, mon épouse avait préparé notre divorce dans le secret… de la solidarité féminine.  J’appris plus tard comment d’autres femmes divorcées dans l’entourage du travail, l’avait encouragé, guidé vers une avocate, vers une agence immobilière, vers des conseils divers, comme les changements secrets et préventifs des noms sur les assurances, au service des impôts, vider les comptes bancaires en secret et préparer minutieusement chaque point de détails, préparer l’entourage, demander des ressources et de l’aide, préparer un futur logement, préparer le jour du départ, compromettre des proches dans le processus pour paralyser les réactions possibles du pauvre mari, faire des calculs sur ce qui pouvait être subtilisé ou évacué en douce parmi les biens mobiliers et du foyer. Plusieurs années plus tard, je comprends maintenant qu’aucun homme digne de ce nom n’est en capacité de faire une chose pareille à une femme, à son épouse, à la mère de son enfant. Si je croyais être au départ la seule victime dans mon pays, je découvris grâce à Internet que nous étions des centaines d’hommes dans ce cas. C’est par la construction d’un féminisme sexiste dans nos pays occidentaux, qu’une histoire comme la mienne est possible et est vécue par des milliers d’hommes. Si j’avais demandé à un homme de mes amis de m’aider à spolier mon épouse parce que je voulais la quitter, ces amis m’auraient ri au nez et se seraient éloignés de moi… Ces femmes autour de mon épouse, non seulement l’épaulèrent mais préparèrent avec elle le guet-apens au nom « d’une lutte contre l’homme, le masculin, la masculinité toxique ».

4- Fidélité.

Croyant, ayant pratiqué, ayant eu une éducation religieuse modérée mais jusqu’à la communion et la confirmation, j’épousais à l’église une femme que j’aimais devant Dieu. Comme chacun le sait, le sacrement du mariage n’est pas donné par le prêtre, ce dernier se contente d’une bénédiction, ce sont les époux qui se donnent mutuellement le sacrement du mariage devant Dieu et devant l’assemblée des hommes, en l’occurrence devant les familles et les amis. Mon engagement était pour la vie, j’avais cru que la femme qui était en face de moi faisait le même serment devant les mêmes valeurs de fidélité. Alors certes il y a aussi des infidélités en Russie et en Ukraine me direz-vous, et des divorces nombreux. Pour ma part je fais partie des 57 % de Français qui ne tromperont jamais leur conjoint. Mais je ne savais pas que la France détenait un sinistre record, celui de se trouver dans le top 10 des pays ou les hommes et les femmes sont les plus infidèles au monde…

1- Thaïlande (56 %), Danemark (46 %), Allemagne (45 %), Italie (45%), France (43%), Belgique (40%), Norvège (40%), Espagne (39%), Finlande (36%), Royaume Uni (36%), article reprit par ailleurs par le Journal de Montréal expliquant que les données des USA et du Canada n’avaient pas été données et donnant les femmes russes comme très infidèles (33 %, ce qui est de fait les chiffres avoués en France par un groupe de 4 000 femmes environ, de manière anonyme). En Russie des femmes infidèles ? Certes comme ailleurs, mais bien que nous ne disposions pas de chiffres officiels, l’infidélité des hommes russes est sans doute supérieure à celle des hommes d’Asie, réputés infidèles. Faute d’hommes, avec un immense écart de plusieurs millions de femmes en plus que d’hommes dans la tranche des 18-55 ans, les hommes ont donc un terrain de chasse immense… et certaines femmes cèdent parfois. Celles qui se retrouvent au CQMI, divorcées, sont avant tout celles qui n’auront pas été infidèles, au contraire, comme les adhérents hommes de l’agence, elles auront connu les blessures de l’infidélité, de la trahison et elles chercheront ce que vous cherchez, ce que vous êtes… c’est une des raisons principales de l’osmose totale qui peut se créer dans un couple franco-russe, ou franco-ukrainien, ou d’hommes de Suisse, de Belgique ou du Québec. Les hommes d’Occident fidèles et romantiques ont alors tout intérêt à se tourner vers les femmes slaves qui elles ne rêvent que de fidélité, beaucoup des profils vidéos des adhérentes avec interviews contiennent cette information : elles veulent des hommes honnêtes, « décents » et qui les respectent.

mariage

5- La beauté intérieure et extérieure des femmes Slaves.

Lorsque je me mariais avec une Française « pour la vie », j’épousais une femme que j’estimais être magnifique et que l’on m’enviait, des hommes me firent comprendre cela et je pus parfois le remarquer. Je me mariais à une femme issue de la province, comme moi, mais d’un milieu social différent. J’aimais mais je sentais toutefois qu’il me manquait quelque chose, à savoir la confidente, la complice de mes curiosités intellectuelles, de mes savoirs culturels, de mes lectures. J’avais du mal à partager mais je l’amenais à différents intérêts en tentant de partager les siens. Elles n’en avaient pas ou très peu, elle ne partagea que quelques courtes années les miens, puis ce fut l’éloignement. En la regardant 20 ans plus tard, je ne vois plus bien sûr après ce divorce la belle femme que j’avais épousé, je la vois belle certes, mais pas au point des femmes russes et ukrainiennes que j’ai croisées par la suite. Quand je parle de beauté, je parle évidemment d’élégance, de traits du visage, de façon d’évoluer, de formes et de manières de se comporter. Aujourd’hui je sais que les femmes slaves ont des choses en plus, une vraie âme, chaude, bouillante, réchauffante, amusante, intéressante et même surprenante. Jamais femme ne fut plus à côté de moi que mon épouse russe, partageant toutes mes envies, s’intéressant à tout ce que je fais, lis, aime et me faisant découvrir à l’inverse quantité de choses inconnues de moi, m’entraînant dans son univers. Là enfin je vis que toutes les femmes que j’avais connu en France, qui n’étaient à peu de choses près que des Françaises (et une franco-anglaise) étaient (et je m’excuse par avance pour celles qui seront choquées) véritablement inférieures à de nombreux points de vue (je parle en général, il y a des femmes remarquables partout) aux femmes slaves.

 

L’article n’est pas assez long pour rajouter d’autres points majeurs qui doivent convaincre des hommes divorcés de se tourner vers des femmes slaves. Parmi ces derniers, le rapport à l’argent, l’individualisme forcené, l’égoïsme, la société de consommation, le terroir, les socles historiques, le déchristianisation des sociétés, les pertes de valeurs et de repères, les pertes aussi des facteurs d’excellences, dont la beauté, le goût, l’élégance, la culture, l’éducation ne sont que des éléments parmi encore beaucoup d’autres. Mais tout ceci devrait faire l’objet d’un ou de podcasts CQMI avec Antoine Monnier, l’avenir de très nombreux hommes divorcés, comme il le dit si bien devrait passer (et pas seulement les divorcés), par des femmes des pays de l’Est. C’est une chance énorme de sortir du piège occidental, de son marasme, de cette situation dantesque et vous pourriez bien en plus… vous rendre compte comme cette femme vous rendra fier, car elle sera à votre bras, et cette dernière ne pensera jamais à ameuter tout votre entourage pour vous quitter un jour en emportant l’ensemble de vos biens, y compris vos souvenirs, et vous laissant dévasté avec un avenir incertain et sombre. Alors venez à l’Agence CQMI, faites-vous votre idée à travers tous les matériels de l’agence, venez en confiance, retrouvez cette dernière avec une vraie et authentique femme !

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