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J’aimerais bien rencontrer une femme russe… mais je ne veux rien payer, ni rien changer dans ma vie rencontres CQMI

J’aimerais bien rencontrer une femme russe… mais je ne veux rien payer, ni rien changer dans ma vie

8 mars 2019

À l’Agence matrimoniale CQMI, nous organisons de nombreux groupes de rencontres chaque année, en Ukraine, mais également beaucoup d’autres hommes partent seuls, en Russie, en Ukraine.  Ils sont plusieurs dizaines donc et ils ont en face d’eux un groupe d’adhérentes aux motivations et âges divers, d’environ 1 600 femmes. Elles ne sont pas que de Russie et d’Ukraine, mais des autres pays de l’Est, comme la Biélorussie, la Moldavie ou le Kazakhstan. Ces hommes se sont lancés en ayant des situations financières très différentes, du simple employé au salaire annuel de 18 000 euros, en passant par des cadres, des ingénieurs, des professeurs, des instituteurs, des chefs de projets, des entrepreneurs, des artisans, des étudiants et des retraités. Après un temps de latence plus ou moins loin, correspondant à la découverte qu’ils font du CQMI, via les espaces de communication, tels que la chaîne YouTube, les podcasts, les articles, les coachings ou le site internet CQMI, tous ces hommes ont investi du temps, de l’argent, se sont préparés, ont décidé de travailler sur eux-mêmes, d’apprendre le russe, de s’informer, de se transcender…

Car si vous pensez que ce cheminement de découverte d’une femme russophone, qu’elle soit Ukrainienne, Russe ou Biélorusse, correspond simplement à prendre un avion, payer un site de rencontres ou une agence, et revenir avec votre cadeau au bras, alors vous n’aurez décidément rien compris à la démarche. Si l’accusation des plus virulentes personnes à notre égard est celle « de vente de bétail », c’est bien ici tout le contraire, il n’y a rien à vendre, rien à prendre, rien à voler, ni à secouer pour en retirer du plaisir ou une forme de satisfaction. Le seul but est de découvrir la femme qui sera à votre bras tout le restant de votre vie. Cette femme vous donnera peut-être des enfants, ou d’autres enfants, elle illuminera votre vie, votre foyer, elle vous permettra de devenir meilleur, d’avancer, d’être heureux, de construire l’avenir, le vôtre et celui de votre entourage proche ou plus éloigné, en compagnie de gens que vous aimez, vos amis, votre famille. C’est un but noble et une quête du Graal qui est difficile, semé d’embûches et de doutes, de remises en question, de retour en arrière, d’errements et parfois, souvent de réussites brillantes, d’osmoses, de passions, d’amour !

Atteindre les terres de Valinor et le paradis de la femme slave.  

Mais alors, devant un objectif si grand, si beau, si important dans la vie d’un homme, pourquoi au CQMI avons-nous littéralement une armée de personnes qui débarquent dans notre agence en s’agitant autour de protestations vaines, de récriminations, de réserves, de demandes de resquilles, de plaintes sur les prix, sur les efforts à faire, sur la faisabilité de l’aventure, sur la pertinence de l’agence, sur l’honnêteté des adhérentes du CQMI, sur la méchante Russie, la pauvre Ukraine, l’obscure Biélorussie… Sans doute est-ce parce que nous n’avons pas été assez clairs sur un sujet capital : les objectifs et les moyens à mettre en face pour que vous puissiez attendre ces derniers. Il reste tout à fait évident (et saugrenu) que si vous vous présentez au CQMI dans l’idée déjà négative qu’il vous manque quelque chose pour réussir, qu’automatiquement vous compterez comme responsable de cette situation… l’Agence CQMI. Trop cher, trop ceci, pourquoi ce n’est pas gratuit, pourquoi je n’ai pas de chance, pourquoi je ne réussis pas, pourquoi j’ai des doutes, pourquoi j’ai l’envie de réussir, mais aussi pourquoi j’ai peur, j’ai honte…  J’ai mal. Alors oui, bien avant que vous arriviez chez nous, pour avoir la chance d’être à la place des hommes qui réussissent au CQMI, pour avoir l’honneur de participer au groupe, pour avoir la joie d’un mariage solide, il vous faudra… dépenser de l’argent, de la sueur, des efforts, de la patience et bien d’autres choses encore. Parmi ces dernières, il est urgent de rappeler à tous l’essentiel :

            - S’être libéré du poids des affres de votre passé,

            - Se projeter dans l’avenir avec une femme,

            - Penser un projet de vie,

            - Imaginer la femme qui sera le second moteur de ce projet,

            - Avoir conscience de qui vous êtes, de vos possibilités, de vos atouts, de vos défauts, de vos… tares,

            - Ne pas oublier de vous aimer vous…

            - Vous demander quels sont vos ressources pour atteindre ce projet de vie avec une femme slave, tant en argent, qu’en moyen et en possibilités,

            - Définir les moyens financiers à mettre en œuvre sur une période d’un à deux ans, qui sera la durée probable de votre cheminement jusqu’au mariage avec une femme des pays de        l’Est,

            - En fonction de tout cela, revoir et ajuster le profil de la femme que vous imaginez à votre côté en passant du rêve de la plastique, et des beautés foudroyantes, à celui de la réalité    concrète,

            - Évaluer vos faiblesses et vos manques afin de les combler, de rattraper les retards et de juger les efforts de développement personnel à entamer,

            - Envisager d’employer un coach CQMI en cas de besoin pour vous aider à progresser sur cette base solide que vous mettez en place, pour ensuite vous lancer dans cette recherche.

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L’argent fera-t-il la réussite ? Ai-je assez d’argent ?

C’est bien là la question traîtresse qui se pose hélas à beaucoup. Notre réponse est toujours la même, mais que voulez-vous vraiment ? Est-il possible d’acheter un tableau de maître, comme par exemple la Joconde en offrant une somme de 127,82 euros TTC ? Pouvez-vous penser qu’en vous rendant chez un concessionnaire Ferrari vous pourrez échanger toute une brouette de rutabagas contre une magnifique voiture ? Est-ce que vous vous rendez dans votre supermarché ou votre marché préféré en important seulement quelques euros ou dollars pour remplir votre caddy ou votre panier de victuailles ? Vous viendrait-il à l’idée d’acheter un château médiéval ou une demeure de luxe, en sachant qu’en ayant juste l’argent pour payer l’ancien propriétaire, vous ne pourrez ni subvenir à la taxe foncière, ni être assez en fond pour effectuer les réparations nécessaires ? Pensez-vous qu’il sera intelligent de faire une demande d’adoption d’un enfant orphelin dans un pays reculé, sans avoir de travail et en vivant dans une caravane au fond d’un jardin… qui appartient à votre grand-mère ? Tout cela est effectivement drôle et caricatural, mais nous voyons débarquer au CQMI des dizaines d’hommes qui sont hélas exactement dans ce schéma ou qui n’ont que cet état d’esprit du : c’est trop cher… je vais voir ailleurs ! 

C’est effectivement votre droit le plus strict, pour 40 euros par mois vous pourriez faire une inscription dans un quelconque site de rencontres spécialisé dans le monde slave et les femmes des pays de l’Est. Vous pourriez même surfer sur la toile sur Facebook dans des groupes dédiés « à l’amour sans frontière » avec certes de grandes chances de faire la connaissance d’un Béninois de 19 ans, « bouteur professionnel » qui vous délestera d’un bon paquet d’argent, et avoir aussi la chance même minime de tomber sur une vraie femme russe…  en chair et en os. C’est possible. Pour aller à Pékin, vous pourriez bien partir à pied, en auto-stop, en voiture, en bateau, en train, en avion ! Peut-être vivrez-vous l’aventure de votre vie, à la façon de la fameuse Croisière Jaune des années 30. Mais peut-être bien que l’avion serait potentiellement, malgré son coût, le meilleur moyen d’arriver à Pékin, afin de visiter la capitale chinoise et une partie de la Chine, en ayant un hôtel, un guide, quelque argent pour vous nourrir et vous faire plaisir, à vous et bien sûr à vos proches en ramenant par exemple, un thé exceptionnel ? De notre avis personnel, venir au CQMI c’est prendre l’avion pour s’assurer un chemin confortable, une assistante, des conseils, des guides, des coach, des soutiens, des garanties et surtout celle déjà de vous aider à réussir ! Alors oui l’argent sera un outil pour entamer sereinement ce chemin… mais jamais il ne fera votre réussite finale, jamais il n’achètera le cœur d’une femme russophone, jamais il ne vous fera posséder ce qui ne se négocie pas. Cet argent par contre que vous dépenserez au CQMI sera bien dépensé, un investissement garantissant un socle de vie commune avec cette femme slave, la possibilité de faire les voyages, les allers-retours, de l’aider à s’installer chez vous. Car au final, peut-être bien qu’une femme accepterait de vous accompagner pour vivre dans un tepee sur les sommets pyrénéens… Peut-être ! Mais avec le peut-être vous n’irez nulle part, c’est le hasard par contre qui choisira pour vous, sous la forme de la redoutable roulette russe de la vie. Roulette russe ? Vous y avez peut-être souvent joué autrefois, mais personne ne construit une vie paisible et tranquille, faite de bonheurs, de joies, des cris d’enfants dans la maison avec un pistolet chargé sur la tempe ! Avez-vous assez d’argent ? Des hommes qui n’avaient que 1 500 et 1 700 euros de salaire y sont arrivés, en se préparant, en étant économes, en ayant du bon sens, et une seule idée : il faut se donner les moyens pour réussir. Vous n’avez pas envie ? Vous êtes négatifs et pensez toujours que vous ne pourrez jamais atteindre ce rêve ? Alors oui en vous présentant ainsi devant nous, vous faites déjà partie de la cohorte des vaincus… et c’est bien dommage.

Alors c’est combien pour réussir ?

Après une longue réflexion de ce genre, viens souvent alors la question philosophique qui achève le tableau magistralement : « mais combien qu’ça coûtera ? ». C’est dans la solitude la plus profonde que ces questionnements nous laissent au CQMI, et dans une grande fatigue également car si l’argent investi permettra de vous donner les moyens de commencer et de réussir de manière « logistique » ce projet, la réussite, celle du moment où vous embrasserez cette femme russe qui sera la vôtre, et que vous la conduirez à l’autel pour lui ceindre l’anneau de mariage au doigt, ne se fera que par des moyens non palpables, non financiers, qui seront constitués de votre situation propre, de votre histoire, de votre caractère, de vos émotions et de votre capacité à les gérer, de votre empathie pour les autres, et bien sûr de votre projet, du niveau de réalisme que vous aurez au moment du choix des femmes dans la liste des adhérentes CQMI. Cette zone de confort, cette zone de réussite du choix, sans parler de votre capacité à créer la confiance, à tomber amoureux (et non du désir de palper un corps), tout cela fera seulement la réussite complète et finale de votre projet. Quant à l’aspect financier de la chose, je me permets de vous donner mon propre ressenti par rapport à ma propre histoire, lors de ma recherche de ma compagne russe et du début du processus :

« Je l’ai raconté en d’autres lieux, je ne gagnais que 1 700 euros dans le mois, j’avais une maison, une voiture, une vie normale et je me lançais dans l’aventure sans avoir pesé à aucun moment ce que je devrais mettre comme moyens financiers en face de ma recherche d’une femme des pays de l’Est. Cependant, pour tout le reste, j’étais prêt à tout faire, tout changer, et je commençais déjà après un divorce cosmique, à analyser mes erreurs, mes succès, mon histoire, mes forces et mes points faibles. Après une inscription dans un bête site de rencontres pour la modique somme de 59 euros pour trois mois, je partais la fleur au fusil, mais riche d’un ami en Russie pour me conseiller, d’une collègue russe pour m’apprendre les débuts des rudiments de la langue, d’une curiosité et de capacités d’apprentissage et d’assimilation. Je n’ai jamais compté le coût final de mon projet, mais il serait facile tout de même de donner une estimation : en effet je fis dans la première année 5 voyages en Russie, 1 en Ukraine, 1 en Moldavie, je finançais la venue (hors billets d’avions et visa) de ma compagne russe en France à deux reprises, j’assurais aussi bien sûr les loisirs, les petits cadeaux, les petites sorties, les coûts de ma remise à niveau de ma garde-robe, de parfums (pour moi-même), et bien d’autres petites choses. En termes de voyages donc, 7 billets d’avions en un an, pour une moyenne de 300 euros chacun, 5 visas russes pour une moyenne de 100 euros chacun, un budget médian pour chaque voyage et mes frais sur place de 400 à 600 euros au maximum selon la durée de mon séjour (3 semaines au plus long en Ukraine). Dans cette phase je dépensais donc un total je pense d’environ 6 000 à 6 500 euros dans mon année de recherche et de rencontre de ma future épouse, soit par rapport à tous mes revenus de l’année en question, environ 30 % de mes ressources (500 euros par mois). J’y suis arrivé de plusieurs manière, déjà en vendant ma cave… de vins, ma collection de 600 bandes dessinées, puis en liquidant les biens matériels non nécessaires à mon existence, la majeure partie de ma bibliothèque (somme d’argent qui fut supérieure à la dépense que je dis, je finançais aussi une bague de fiançailles pour ma chérie !). Et plus tard pour faire le saut périlleux de mon expatriation, j’ai aussi vendu ma voiture et ma maison. Je ne l’ai jamais, mais alors jamais regretté ! Qu’est-ce que des biens matériels dormant sur des étagères ou dans une cave, des livres que j’avais déjà lu, des bouteilles aux noms certes prestigieux, par rapport à toute une vie de bonheur (ça dure déjà depuis 11 ans !), avec une femme slave, la mienne, mon épouse chérie ! ».

 

Je peux vous le dire, ceci n’est rien, et le propre de la réussite c’est dans tous les domaines, de la logistique, en passant par votre engagement personnel, votre disponibilité de cœur, d’esprit et d’âme, à trouver les solutions. Un CQMIste (Cédric) qui fera son chemin l’a énoncé clairement : il y a ceux qui arrivent avec des problèmes, et qui en trouvent à chaque occasion. Et puis il y a ceux qui arrivent avec des solutions, et qui en recherchent et en trouvent par rapport aux problématiques qu’ils rencontrent. J’ajoute enfin, que plus fort encore je réussissais derrière une expatriation, fait rare dans le cas des CQMistes (les épouses émigrent dans l’écrasante majorité des cas), qui me demanda encore bien des efforts, mais chaque CQMIstes qui a réussi est aussi passé ensuite par une phase migratoire de sa femme, qui est aussi un défi. Vous n’êtes pas prêt à le relever, vous n’avez selon votre avis pas assez d’argent ? Alors la chose est entendue, celui qui n’a pas d’espoir, ne se donne pas les moyens de la réussite, celui qui négocie âprement un prix juste, n’économisera que le bonheur d’avoir une vie amoureuse exceptionnelle, ce sera sans jeu de mot…  son choix. Quant à moi, je vous incite entre compter des kopecks et des haricots et vivre une vie heureuse, à faire le bon choix, mais certains c’est vrai seront très heureux à empiler des pesos et à remiser des sacs de noix dans la remise (!!!). Chacun y trouvera son compte finalement, le pire étant la demi-mesure : venir au CQMI et tambouriner des points sur la table en étant indécis, sans ressources morales et sans projet !

Alors serez-vous CQMIste ou resterez-vous sur le bord du quai ?

 

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