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La Place de l'Homme dans la Société : Différences Est-Ouest

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QUIZZ : Ais-je une Chance avec une Femme Ukrainienne ?

Quelle est la place de l’homme dans notre société moderne en 2019 ? Existe-t-il des différences dans la perception de son rôle selon qu’on habite le Canada, la France, la Russie ou l’Ukraine ? Comment peut-on expliquer les différences de perception entre l’Est et l’Ouest ? Je propose dans cette vidéo une analyse en profondeur de notre position d’homme dans la société. Plutôt que de regarder du côté des femmes, essayons de regarder notre propre situation sans concession.

Bien qu’en Occident les médias tentent de vous vendre le schéma inverse, en réalité l’immense majorité des gens pensent et veulent le contraire des schémas qui nous sont vendus comme ceux de l’avenir. Beaucoup d’hommes sont en effet en détresse dans cette société en changement dans les pays occidentaux. Victimes des changements qui augurent mal de l’avenir, ils sont au cœur des pires tempêtes, englués dans de sombres marécages dont ils ne sont pas près de sortir, quand bien même ils pourraient en sortir. Des millions d’entre eux, en Suisse, en Belgique, en France ou au Canada ont été broyés par des divorces, ils auront été ruinés pour beaucoup, pressurés et jetés dans les 2/3 des cas des divorces. D’autres en concubinage ont vu leurs compagnes filer à l’indienne et dans de très nombreux cas, ces femmes les ont en plus accusé, diffamé et calomnié dans leurs familles, leurs entourages, leurs amis, en laissant leurs liens sociaux détruits, endommagés, jusqu’à parfois dévaster l’ensemble de plusieurs familles. Cette triste réalité c’est aussi le fait d’un manque de femmes dans les pays de l’Ouest. Moins nombreuses, elles ont pris conscience au fil du temps de leur rareté et d’un pouvoir qu’elle n’imaginait pas : le contrôle, celui de la manipulation, du sexisme se cachant derrière le féminisme.

Détruire l’homme et en faire un objet de consommation pour femmes.

C’est à l’Ouest que la place de l’homme s’est dégradée très vite, d’abord dans les pays anglo-saxons et d’Amérique du Nord, puis bientôt en Europe. Médias, propagandes d’états, européennes, américaines ont marqué les esprits en changeant les normes au regard des nouvelles générations. Avec d’abord la révolution des années 60, sont venues celles des genres, sourdement entamées dans les années 80 et donnant naissance à la théorie du Genre, inventée deux décennies plus tôt par des Américains. Plus de femmes, plus d’hommes, plus de papas, ni de mamans, plus de sexes et plus d’enfants, ces dérives vont très loin et s’expriment par d’inquiétants chiffres sur la pédophilie dans les pays de l’Ouest. Selon les chiffres donnés par l’UNICEF, tous les curseurs seraient au rouge avec des pays émergeant victimes d’une clientèle locale mais aussi beaucoup venue d’Occident, c’est ce qui s’appelle le tourisme sexuel.  Cette tendance de destruction de l’enfant, comme on le voit ici avec des chiffres incroyables de plus de 400 000 enfants prostitués par exemple en Inde, jusqu’à la France alignant ces 8 000 victimes (soit 4 fois plus que la Roumanie, 8 fois plus que les Pays-Bas), ne doivent pas cacher aussi la destruction de la femme (comme objet sexuel), mais aussi plus rapidement encore de l’homme et ce qui est rarement mis en exergue. L’homme au contraire est attaqué, parfois par une véritable propagande, un marketing agressif, des publicités comme celle de Gillette , heureusement décryptée par Antoine Monnier au début de son LIVE CQMI n° 40.

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Dans cette rhétorique des journalistes, il y a une masculinité toxique… les hommes sont toxiques, mauvais, méchants et violents, en opposition à la femme qui elle serait exempte de tous les défauts. Dans cette mauvaise histoire désastreuse, l’homme est donc cloué au piloris, accusé, stipendié et même ce sont des procès d’intentions qui leurs sont fait. Pire ce sont les petits garçons qui sont visés aussi, leur sexe est alors sujet de hontes et d’agressivité, de violences et méchancetés, d’horreurs allant jusqu’aux vexations, aux manipulations, au viol, aux coups et au meurtre. Il est alors normal dans ces nouveaux standards d’humilier l’homme et de le transformer en simple objet de consommations, voire de moqueries, c’est un fait de société que l’on observe en France et au Québec avec les sites Adopteunmec.com et Monclasseur. Dans le premier, c’est un vrai supermarché pour les femmes, les hommes sont comparés à des « carottes », des légumes et doivent s’abaisser (ainsi que les femmes) en donnant des informations complètement incongrues dans le cas de l’optique de rencontres sérieuses. Ces informations concernent par exemple les pratiques sexuelles, des détails matérialistes et l’idée est de proposer une masse d’hommes au choix, à des femmes maîtresses de tout le processus, en position de force et non d’égalité (qui pourtant est prônée en principe comme l’objectif absolu). Ces hommes sont classés au départ dans une masse de sexes à prendre, de boulets, de ratés, de dégénérés dont on pourra au passage se moquer, parfois en compagnie des copines. Lancé en 2008, le logo est celui d’une femme embarquant dans un caddie un bonhomme qui est embarqué « de force », comme un objet, une chose. Concept totalement français, créé par des Français, le site a surfé sur la provocation afin de se développer sur une publicité gratuite de milliers d’articles en des dizaines de langues. C’est environ 10 millions de personnes inscrites, 9 pays conquis et vous serez surpris ou pas, de la France le site s’est installée en Espagne, en Italie, en Allemagne, en Pologne, en Turquie, puis au Brésil, en Colombie, en Argentine ou au Mexique… L’inscription est totalement gratuite pour les femmes… car les hommes eux payent pour s’inscrire et se faire humilier. Ce modèle de stratégie innovante mais agressive est dissimulé derrière officiellement « de l’humour », les « hommes jouant gentiment le jeu ». En dix années, le site a multiplié par dix son chiffre d’affaires, application mobile (hors jeux), ayant généré le plus de revenus en 2013, l’application la plus rentable de l’année 2015.

Une dérive qui va en s’aggravant au fil du temps.

Comment en est-on arrivé là ? C’est une question qui trouve facilement sa réponse. Initiée sur une longue période d’un demi-siècle, au départ des pays anglo-saxons, cette construction d’une société sexiste fait partie d’une stratégie généralisée qui est appelée sous différents noms, le Mondialisme, le Globalisme. Elle vise surtout à développer des comportements, des soumissions, des addictions, et surtout à faire vendre, à générer des budgets, de l’argent beaucoup d’argent. Or les relations entre hommes et femmes sont justement au cœur des économies. Lorsque le CQMI vous parle de mariage et de vie heureuse, d’une femme avec un homme, ces sociétés vous parlent d’assouvir des désirs, des fantasmes, d’acheter, de consommer, de transformer, de transgresser des interdits. C’est ce qui a d’abord fait la richesse de l’industrie pornographique et fait qu’elle peut être proposée à l’heure actuelle gratuitement à des milliards de consommateurs. Elle s’exprime par des révolutions successives, la sortie du porno des salles de cinémas érotiques discrets et réservés, pour une mise à disposition à des enfants, des adolescents et des adultes, quasiment de la sortie de l’âge tendre, à l’entrée de l’école, jusque dans les âges les plus reculés. Elle ne s’adresse plus uniquement à des hommes, mais à des femmes, des minorités sexuelles, parfois terribles et interdites, touchant l’enfant, les animaux et jusqu’à des rites scabreux dégénérés, faire mal aux autres, manger ses excréments, vénérer des parties « non nobles » du corps etc. Cette situation s’aggrave aussi du fait de l’augmentation dramatique de la solitude de l’homme (et de la femme).

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Jamais en effet, autant de célibataires, d’hommes et de femmes auront été seuls. Au sujet des statistiques de 2016 pour le Canada, c’est une augmentation en proportion de femmes et d’hommes qui vivent seuls, ce qui est frappant c’est le plus grand nombre de femmes séparées, divorcées ou veuves. La réalité est là : les femmes préfèrent la solitude. Rappelez-vous les propos de Yvon Dallaire sexologue au Québec : 75% des divorces ou des séparations sont initiés par les femmes. C’est un peu moins dans les pays francophones d’Europe, mais proche ou supérieur aux 2/3. Les femmes sont de plus en plus indépendantes sur le plan professionnel, financier. Elles ne veulent plus s’embarrasser d’une vie de couple, parfois même d’enfants, ou tout simplement des pères des enfants. Les conséquences sont une augmentation des frustrations, et paradoxalement une explosion des possibilités de satisfaire tous les penchants, même les plus horribles, les plus interdits, les plus dangereux et les plus cruels. Ces frustrations, cette insatisfaction conduisent ces hommes et femmes vers des sites de rencontres dans tous les pays occidentaux et du monde (émergence de Tinder). Mais des différences existent primordiales entre l’Est et l’Ouest. En Occident, c’est un total de deux à trois hommes pour une femme présente sur ces sites de rencontre. De fait, à part le site humiliant Adopteunmec.com, le déficit de femmes est si grand, qu’il donne un avantage majeur, une façon supplémentaire d’enfoncer le clou du contrôle. L’industrie de la rencontre amoureuse, que l’on parle des sites de rencontres, des sites plus généralistes (comme Badoo), ou des réseaux sociaux où se développent des milliers de groupes de rencontres à thèmes, génère désormais des milliards de dollars. Cette situation se couple avec un défoulement des personnes vers des addictions, la consommation, l’empilement de plaisirs et de jouissances éphémères qui ne satisfont jamais ni l’âme, ni le cœur, ni l’esprit. Évidemment personne ne vous le dira ouvertement. Adopteunmec en France, Monclasseur au Québec ne sont qu’une forme d’assujettissement moderne de l’homme, pour le contraindre et le soumettre, mais un point important est à remarquer : si ce système s’est exporté dans neuf pays, comme nous l’avons dit, elle n’a pour l’instant pas atteint la Russie ou l’Ukraine. Un pays slave cependant est tombé, la Pologne, porte ouverte expérimentale à tous les autres pays de l’Europe centrale et de l’Est. En Russie, le site adopteunmec est tout simplement inaccessible… Alors pourquoi les hommes ne perdent pas, ou moins le contrôle en Europe de l’Est ?

QUIZZ : Ais-je une Chance avec une Femme Russe ?

L’homme russe le capitaine sur le bateau.

Avec tous ses défauts, celui des hommes, celui de l’espère humaine, l’homme russe reste donc aux commandes du navire, il est le chef de famille, le mari, l’amant, mais dans cette construction, contrairement aux croyances la femme slave peut promouvoir et favoriser le leadership de son homme, dont elle est fière. L’homme a son rôle de leader de la famille à jouer, il a une place qui reste la sienne, il n’y a aucune concurrence, aucune jalousie, aucun rapport de forces pour occuper la place de l’autre, pour décider des choses à dire, faire ou acheter. L’homme slave, par ailleurs rare par rapport à une masse impressionnante de femmes, reste une référence, un phare, une épaule et cette dernière ne peut se passer d’une tête de femme qui s’y accolerait. Ce modèle c’est celui défendu par l’agence CQMI, par toute l’équipe de l’agence, par son fondateur, Antoine Monnier, avec son épouse ukrainienne Borislava, mais aussi le couple Hervé, auteur et correspondant de l’agence à Moscou avec son épouse russe Aliona, les différents intervenants, comme Pierre ou Hugo, respectivement correspondants en France et au Canada, les assistantes CQMI, dont Nadia, chef de file et coordinatrice peut être l’une des représentations concrètes de ce que sont les valeurs défendues. Derrière les assistantes du CQMI, vous entendrez les conseils, les constatations, la nature de ces femmes slaves, russes ou ukrainiennes. Mais l’homme russe est aussi en danger, lui aussi passablement attaqué via le mondialisme mais aussi son talon d’Achille : les addictions.

Ils sont moins nombreux, ils ont été décimés par deux guerres mondiales, par une grande révolution et une guerre civile, par des conflits armés secondaires, par des famines et des régimes oppresseurs, le tout entre 1905 et aujourd’hui. Ayant une espérance de vie faible, elle se situe à 71,59 ans (2016), ayant progressé à 72 ans (2017), un record… mais qui ne pèse pas lourd face aux chiffres des pays de l’Ouest.  Elle est de 78,69 ans aux USA, 80,8 au Québec, 81 en Belgique, 82,27 ans en France, 83 en Suisse, 83,98 ans au Japon… tandis que les pays de l’ex URSS restent des mauvais élèves, 70,9 au Kirghizistan, 71,3 en Ouzbékistan, 71,4 en Ukraine, 71,6 en Moldavie, 72,3 au Kazakhstan, 73,8 en Biélorussie, 74,3 en Lituanie, ou de l’ancien Pacte de Varsovie, avec 75 en Roumanie, 75,5 en Hongrie, la Pologne atteignant son 77,4. Ces inégalités se couplent aussi avec des différences importantes entre l’espérance de vie des femmes ou des hommes, ou l’espérance de vie en bonne santé. De tous temps, l’homme a toujours été plus fragile, la croyance populaire indiquant par ailleurs qu’il serait plus friable à la souffrance, à la douleur et aux maladies, mais les causes de sa vie plus courte semble se situer ailleurs, plutôt dans les comportements. Ces addictions font des ravages dans les rangs des hommes slaves, mais l’homme russe ou ukrainien, quand il a réussi à se maintenir droit dans ses bottes, a une position enviable par rapport à son homologue occidental, il a une femme… slave. Il ne sera jamais assez dit que la résistance et les réussites de ces peuples l’ont été beaucoup par l’osmose dans le couple slave, dans la possibilité de la femme slave également de briller tout en restant ce qu’elle a toujours été… il y eut Pierre le Grand…. Mais aussi Catherine la Grande !

Triste constat donc à l’Ouest, dérives qui sont inquiétantes d’ailleurs pour la survie des civilisations de ces pays sur le long terme, mais le propre de l’Humanité c’est aussi la mort de ces dernières, elles naissent, elles brillent, elles perdurent, elles périclitent et enfin elles meurent, puis elles disparaissent en laissant plus ou moins des traces de leurs furtifs passages dans un monde à l’échelle d’un Univers infini. A l’Agence CQMI, nous vous proposons au contraire de ne pas en rester là, de tenter de vivre cette vie incroyable en compagnie d’une femme slave, ceux qui ont connu cette joie sont dans leurs nuages, vivent des vies riches, de par la diversité des cultures, des pays, les mariages des gastronomies, des langues, des âmes et des corps ! C’est ici une magie qui s’opère parfois sous nos yeux, nous avons été parmi « quelques élus », nous aimerions bien que vous en soyez aussi, car les chiffres le montrent, environ 5 millions de femmes en Russie rêvent de l’homme étranger, probablement pas moins de 2 à 3 millions en Ukraine ! Qu’attendez-vous donc pour nous rejoindre, pour suivre la communauté, nous observer, via notre chaîne YouTube, nos podcasts CQMI, nos articles, notre site, nos histoires, nos témoignages… et ensuite décider de faire le pas… vers le grand bonheur qu’est un vrai amour entre une femme et un homme ?

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