La première chose qui vient à l’esprit est justement la réussite d’une telle démarche. Entre les reportages au vitriol, les rumeurs de couloirs, les témoignages catastrophiques d’amis des voisins de la tante du cousin du coin de la rue… sans parler des journaux et médias qui se régalent d’histoires certes souvent véritables mais pourtant minoritaires, il est difficile pour le citoyen lambda de faire la différence, de se faire une idée, de faire confiance. La première chose qui vient à l’esprit ce sont les arnaques, nous avons au CQMI déjà beaucoup traité les escrocs à l’amour, les différentes sortes d’approches des scammers, des brouteurs ou autres personnages malveillants qui ne seront là que pour vous tendre des pièges. Mais justement, dans la majorité des cas, ces arnaques viennent des simples sites de rencontres que nous allons évoquer.
Le site de rencontre c’est une approche commune qui vous viendra sans doute en premier à l’esprit. Simple d’accès, peu coûteux, nécessitant juste une inscription et parfois même pas une vérification de vos papiers d’identités, c’est là justement le problème, ces sites sont ouverts à toutes les arnaques. En effet, ce sont les hommes qui s’inscrivent qui payent et pour les femmes, à de rares exceptions près, l’inscription est gratuite. La présence de compte premium ou platine, d’abonnements aux côtés de comptes gratuits feront que quantité des femmes découvertes dans ces sites ne seront pas sérieuses, seront des hommes se faisant passer pour des femmes, seront des femmes en voulant à votre argent ou pire chercheront des papiers, des possibilités de cadeaux gratuits, de voyages et de bonnes farces à faire sur le dos d’occidentaux crédules qui au mieux auront reçu un peu de tendresse ou quelques nuits de plaisirs consenties en échange de vacances qu’elles n’auraient jamais pu se payer. Face à des profils gratuits, non vérifiés, l’impossibilité d’un recours juridique, vous voilà donc dans un très faible créneau de réussite. Laissons parler Hervé, notre spécialiste en la matière qui a emprunté ce chemin :
« Lorsque j’ai entamé ma recherche de ma compagne russe, l’agence du CQMI n’avait pas été fondée, nous étions plus de 8 ans avant sa création. J’ai décidé d’emprunter le chemin du site de rencontres et si deux ans plus tard j’étais arrivé au port, j’avais rencontré ma future femme, c’est surtout parce que j’ai eu de la chance, que j’étais très organisé, que je voulais partir de France, que j’avais des pieds à terre en Ukraine et en Russie, que j’avais des amis slaves pour me conseiller, que j’avais préparé mon projet longuement à l’avance et enfin que je n’avais laissé aucun détail de côté. Cela fit mon succès, mais de mon avis personnel, sur un homme dans ce cas, 10 autres échouent avec ces sites de rencontres pour plein de raison : en premier lieu ces sites n’accordent aucune assistance au client. A vous de vous débrouiller. Alors pour un aventurier débrouillard de mon genre, avec ses talents et ses défauts, il y a d’autres hommes qui n’ont ni la patience, ni le caractère, ni le temps, ni l’envie, ni les possibilités, ni l’audace d’une telle démarche. Je ne me lance pas des fleurs, mais par exemple je travaillais dans l’éducation nationale et j’avais donc de nombreuses vacances, 16 semaines en tout, plus de trois fois celles d’un employé du privé. J’avais donc du temps, des vacances pour me balader dans ces pays, et rien que cela c’est déjà très difficile pour d’autres personnes, imaginons ceux qui ont des responsabilités, une entreprise, des fonctions, une exploitation ? Le site de rencontres nous ne saurons jamais le taux de réussites, mais il me semble que cela doit être à la hauteur de 5 à 10 % au grand maximum. C’est l’option la plus risquée, la moins sûre, la moins adaptée, une voie possible mais truffée de mines et d’embûches ».
C’est surtout le cas ici d’hommes jeunes, au profil étudiant ou de jeunes adultes au sortir d’un parcours universitaire. Ils ont voyagé, ils ont fait des études à l’étranger, peut-être un échange avec le programme Erasmus, ou encore quelques semaines d’une université d’été. C’est bien sûr une illusion des voyages, un microcosme très particulier où des jeunes gens pourront effectivement rencontrer des jeunes femmes de toutes sortes. Certains de vos amis auront fait le pas de l’expatriation voire de l’immigration ? Oui mais combien d’entre eux seront arrivés au port, c’est à dire qu’ils arriveront à conduire à l’autel l’une des jeunes filles qu’ils auront croisées et peut-être aimées ? Il y a quantité de jeunes hommes qui pour avoir passé six mois dans une demie douzaine de pays européens se voient déjà comme des globe-trotters expérimentés, capables de tout, indestructibles. Mais laissons de nouveau Hervé s’exprimer :
« De par mes fonctions professionnelles, il m’arrive de voir tomber du ciel quelques-uns de ces vaillants explorateurs modernes. Pas plus tard qu’il y a deux semaines, une jeune fille dans la vingtaine demandait sur un réseau social à rencontrer des « amis » pour partager un verre avec une française, au détour d’un passage à Moscou et sur le retour d’un séjour linguistique en Sibérie. En plus de la dangerosité de la démarche, il est évident qu’une telle mentalité est celle d’une personne naïve, se mettant elle-même en danger, ne contrôlant pas les rencontres qu’elle fera, même si dans son esprit il ne s’agissait peut-être que d’amitié. Ma surprise fut grande de voir débarquer tout un bataillon de groupies, de jeunes hommes et femmes criant à l’étroitesse d’esprit sur mon conseil de prudence et de réserve, surtout sur un réseau social. Mais cela n’arrive qu’aux autres n’est-ce pas ! Dans les personnages que j’ai croisé ici, je me souviens de plusieurs VIE, de quelques étudiants qui ayant espéré en l’amour d’une jeune fille russe de passage dans leur existence étaient repartis dans un désert célibataire, parce que rencontrer une créature dans une boîte de nuit, au détour d’un bar ou d’une salle de cinéma, à fortiori un coin de rue, cela conduit souvent justement au hasard et confier sa vie au hasard c’est un peu comme jouer à la roulette russe avec le risque que le barillet soit chargé de 5 balles… pour 6 emplacements. De nos jours, il y a des hommes qui se réveillent à 35 ans, 40 ou 45, sans avoir fait une rencontre valable, simplement pour avoir perdu leur temps dans le labyrinthe pernicieux de nos sociétés de loisirs ».
Ils sont très nombreux, certains sur le concept du genre « adopteunmec », tente d’attirer une clientèle féminine sur des sites qui de toute façon sont occupés par un bon 80 % de bonhommes de tous les âges. Si vous avez eu la faiblesse de divaguer sur l’un d’eux, sur le concept de la rencontre rapide de femmes habitants dans votre secteur, vous vous rendrez vite compte non seulement du peu de sérieux de ces sites, de l’absence complète de garde-fous, d’un aspect plus sécuritaire, mais aussi de celui de la qualité des possibles. Quel intérêt en effet quand bien même vous seriez à la recherche d’une femme sérieuse, de vous perdre sur des sites proposant tout à la fois des rencontres amicales, des rencontres coquines, des rencontres sérieuses, ou des rencontres tout court pour toutes les mauvaises raisons du monde ? Au mieux vous pourriez peut-être accrocher la coiffeuse du coin, peut-être même une femme sérieuse mais qui au fond sera si éloignée de vous par beaucoup d’aspect qu’avant même une rencontre vos chances de réussites seront proches du zéro pointé. Saviez-vous d’ailleurs que le site Badoo a été fondé par un Russe ? Ce fut ici la création d’André Andreev, un homme d’affaire né en 1974, pesant plus d’1,5 milliards de dollars. C’est en 2006 qu’il lançait ce site de rencontres dites « au sens large » énorme succès lancé depuis l’Espagne et étant parti à la conquête du monde. Personne ne saura jamais ce que ce phénomène de masse, de rencontres massives aura généré d’histoires plus ou moins sordides, mais une chose est certaine c’est une manne fructueuse atteignant aujourd’hui 190 pays dans le monde, pour 150 millions de dollars par an de chiffre d’affaires. Les deux antennes et bureaux de la firme sont à Moscou et Londres, et un classement des meilleures entreprises mondiales (Grande Bretagne, en 2017, Glassdoor), l’a classé dans le top 20 des meilleures firmes du monde… Non pas pour les couples créés, mais pour l’argent généré, un signe éloquent, André Andreev a avoué avoir rencontré sa compagne non pas par Badoo… mais dans son cercle d’amis intimes !
L’Agence de rencontres ou l’agence matrimoniale ? Que les choses soient claires, si vous misez sur une rencontre et non sur un mariage vous aurez toutes les chances d’avoir donc ce que vous cherchez, une rencontre. Il faut beaucoup se méfier des agences qui parlent trop souvent de rencontres et pas assez de mariages, de familles et d’enfants. Car que voudriez-vous bien construire avec des femmes qui ne voudraient pas se marier, pas fonder de famille, pas avoir d’enfants, voire même ne pas faire de concessions, ne pas déménager, ou amuser la galerie avec de sempiternelles affirmations de « et si », ou de « dans un an », ou de « oui peut-être bien que non »… Vous aurez conscience que des agences dites de rencontres utilisent par ailleurs des actrices, des fausses adhérentes, des amies de l’agence, ou même payent des femmes pour venir à la rencontre d’hommes qu’elles seront chargées d’amuser le temps d’une rencontre ou deux, le temps d’empiler quelques cadeaux, de ramasser une commission, de faire payer des abonnements onéreux. Certaines agences iront même jusqu’à peupler leur base de profils de fausses personnes pour agrandir artificiellement ses rangs, faire illusion puis vous diriger vers d’autres personnes. D’autres auront des bases qui ne seront jamais mises à jour. Vous découvrirez ainsi, quand la fonction existe que beaucoup de femmes ne répondent pas et pour cause, elles ne sont plus réapparues sur ces sites depuis, six mois, deux ans, quatre ans ! D’une masse de 1 000 personnes sorties du moteur de recherche selon vos critères, vous pourriez n’avoir en réalité que 30 personnes en face de vous. Plus subtil encore seront ces agences intéressées à vous faire prendre des abonnements à l’année. Il ne s’agira pas ici de vous garantir ne serait-ce qu’une rencontre, d’organiser comme dans l’Agence matrimoniale CQMI des groupes en Ukraine ou en Russie, mais simplement de vous faire passer par la case banque. Privés de la possibilité de véritables rencontres, ces clients n’ont que la possibilité de rêver devant de belles photographies, de payer un service qui ne les mènera nulle part, pour des sommes parfois et souvent importantes. Il n’y a rien de concret tout est basé sur du rêve qui se termine au mieux dans un défilé de vraies fausses actrices, ou de femmes n’ayant aucun intérêt ni pour votre projet, encore moins pour vous ou pour la construction à deux d’une véritable histoire. Le mot magique, Amour, est parfois bien utile pour faire courir loin et en vidant les poches d’hommes souvent malmenés et en difficultés dans leurs vies intimes.
Voilà donc bien ce qui fera votre succès, être d’abord bien entouré dans une agence matrimoniale authentique. La première chose à prendre en compte, l’élimination immédiate de toutes les agences tenues par des personnes issues de Russie ou d’Ukraine. C’est une règle d’or absolue. L’histoire a montré que toutes les agences frauduleuses étaient en effet tenues par des Slaves. Vous choisirez donc celles gérées par des francophones, comme c’est le cas de l’Agence matrimoniale du CQMI, son fondateur Antoine Monnier est né en Franche-Comté, réside depuis longtemps au Québec. C’est une double garantie pour les Européens, comme pour les Canadiens. Seconde chose, vous vous renseignerez sur les raisons de l’existence de l’agence. Vous découvrirez ainsi qu’Antoine Monnier est marié avec une Ukrainienne qu’il a rencontré par le moyen… d’une agence matrimoniale, l’idée majeure de ce couple est donc d’apporter à d’autres gens le même bonheur qui les a unis, de former de nombreux autres couples à l’image du leur, une philosophie de travail qui est donc très différente des modèles communs, dans un cadre familial, à taille humaine, avec des LIVE chaque dimanche, un canal YouTube CQMI, des dizaines, des centaines de vidéos, racontant des histoires et des tranches de vie, donnant des conseils, apportant des coachings, essayant même d’aider sans contreparties des gens de tous les horizons qui ne sont pas forcément des clients de l’Agence matrimoniale CQMI. Mais avant de s'inscrire dans une agence matrimoniale qui peut être une bonne option pour trouver sa perle rare, il faudrait peut-être commencer par quelques vérifications d’usages très simples et évidentes. Voici donc une petite liste des toutes premières démarches à entamer, avant même de nous contacter :
Une agence matrimoniale c’est ringard ? Vous pourriez bien découvrir que le ringardise que vous évoquiez est bien de votre fait, car au XXIe siècle, la rencontre amoureuse ou matrimoniale par le biais d’agences, et via internet, c’est justement quelque chose qui est carrément dans l’air du temps. Vous découvrirez de plus en plus de gens qui se seront rencontrés par ce biais. Et pour cause à l’Agence matrimoniale du CQMI, les atouts sont nombreux et réels : l’assistance et le coaching de plusieurs personnes de l’agence, d’Antoine Monnier à travers des centaines de vidéos, mais aussi pour les femmes, de Borislava la femme de l’ombre et qui fournit un gros travail auprès des adhérentes ukrainiennes et russes. Vous avez aussi les conseils et les écrits de Patrick plutôt spécialisé dans la psychologie et la sociologie, ou encore ceux d’Hervé, marié à une Russe qui donne un éclairage parallèle. Plus important et de loin seront les fameuses assistantes du CQMI, vos guides, interprètes, anges gardiennes et coachs personnels, ces femmes francophones qui pourront vous accompagner dans vos rencontres sur place avec les femmes avec qui vous aurez entamé des relations épistolaires et en visioconférences. Vous n’oublierez pas chers Messieurs, que votre profil est votre carte de visite dans une agence matrimoniale. Pour qu’une femme tombe amoureuse lors de votre première rencontre personnelle, elle doit vous remarquer avant sur le site web de l’agence matrimoniale. En effet, ce n’est pas parce que vous aurez décidé que ce sera elle, que les adhérentes accepteront de vouloir vous rencontrer. Le choix en effet est double à l’agence CQMI et les femmes, et c’est bien normal, on le droit de refuser de vous rencontrer pour toutes les raisons qui leur paraîtront bonnes. Alors, mettez-vous en valeur !
Comme vous le découvrirez dans les espaces de l’Agence de rencontre CQMI, soit par le biais des articles du site, soit par la chaîne YouTube, ou encore par le bouche à oreille ou les LIVE d’Antoine Monnier, vous pourriez vite vous rendre compte que l’agence est bien la meilleure option pour les hommes célibataires québécois, français, belges, suisses, luxembourgeois, francophones du monde entier… et même bien sûr pour tous les autres, anglophones, germanophones et bientôt peut-être d’Asie, de Chine ! Vous voulez rencontrer l’amour de façon sérieuse ? L’Agence matrimoniale CQMI est peut-être le seul endroit où vous pourriez rencontrer des femmes slaves célibataires qui cherchent des hommes sérieux pour une relation durable. Avec nous vous découvrirez un monde entier de possibilités infinies pour rencontrer une femme slave, celle de vos rêves, cette femme que vous attendez et espérez depuis si longtemps, ou même que vous jugez impossible à rencontrer dans le monde où vous vivez. L’agence matrimoniale internationale CQMI a pour mission de vous épauler lors de la recherche de la personne qui vous conviendra le mieux et présente plusieurs avantages incontestables par rapport aux autres agences, que nous avons déjà évoqué largement : grand choix de profils, légalité du processus, contrôle de la qualité des services, confidentialité, approche personnalisée, accompagnement relationnel, expérience inoubliable et bien d’autres. Alors à bientôt ?
Regardez la vidéo qui parle des sites de rencontre et des arnaques en Russie et Ukraine