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Éric et Natalia, un couple franco-russe formé par le CQMI

langue française

C’est une très belle histoire, comme nous aimons beaucoup les raconter à l’Agence CQMI, voici donc celle d’Éric, un Français de la région de Toulouse, et une Russe de Crimée, Natalia qui se sont rencontrés par l’entremise de nos services. C’est une joie immense de savoir que des personnes qui nous ont fait confiance, sont venues s’inscrire au CQMI dans l’espoir de découvrir du bonheur, de la joie, une épouse, un époux, une possibilité de fonder une famille, celle enfin de vivre à deux, en couple, avec une personne aimante et attentionnée. Si nous ne savons pas qui vient à nous en s’inscrivant, nous faisons le maximum pour protéger notre clientèle, tant les hommes que les femmes, en vérifiant les états-civils, les casiers judiciaires, en passant au crible les profils, en imposant des bons comportements. Toutes ses mesures se couplent avec la vigilance des assistantes quand elles sont employées par nos adhérents pour rencontrer les adhérentes, mais aussi des équipes des bureaux, à Montréal ou Kiev, qui gèrent la clientèle. C’est tout cela le CQMI et ceci permet une garantie de protection, de sincérité maximum des personnes qui se présentent à nos portes et fait parfois, souvent le succès de couples, en voici un.

Voyage d’Éric à Kiev en Novembre 2017

A l’écoute des trois témoignages d’Éric, soit une vidéo et deux podcasts différents, un premier reprenant la suite de l’histoire (deux ans après environ), et un second racontant plus l’actualité de leur couple qui marche désormais au mariage, nous découvrons qu’Éric est somme toute un Français comme les autres, comme il en existe des milliers en province. La cinquantaine, il n’a pas cru à la fin de sa vie amoureuse, et plutôt même au contraire. Son profil est très intéressant, nous l’avons dit c’est un Français comme les autres, d’une province, de Toulouse et de sa région, un physique passe-partout, ingénieur de profession, plutôt donc de la classe moyenne, le cas d’une immense majorité de citoyens français, vous auriez pu le rencontrer dans la rue, il aurait pu être de votre famille ou de vos amis. A 57 ans, à la fin de 2017, il témoignait de son aventure au CQMI, qui l’a mené à rencontrer Natalia, suite à une très longue recherche, passant par les sites de rencontres présents en France, puis bientôt se tournant vers les pays de l’Est par un hasard heureux. Ce hasard aura été au départ un contact malhonnête, ce qu’on appelle un scammer à l’amour, qu’Éric aura démasqué assez facilement, par ailleurs sur les conseils d’Antoine Monnier fondateur de l’Agence CQMI, il se trouvait alors entre de bonnes mains et fit bientôt le cheminement dans l’agence.

Eric aurait pu ne jamais s’adresser à une agence matrimoniale, encore plus le menant vers les pays de l’Est, il n’avait, ce qui est le cas de beaucoup d’hommes, aucune connexion avec la Russie, l’Ukraine ou d’autres pays, son projet était bien de retrouver une compagne et surtout une épouse dans son pays. De son propre aveu, ce qu’il voulait s’était « être heureux, être amoureux, être en couple » est c’est par la chaîne YouTube CQMI qu’il approche pour la première fois les coachings et les témoignages des femmes CQMI. Il y a découvert d’abord les femmes slaves, leurs valeurs, les traditions et se convainc alors rapidement de la nécessité de s’inscrire, il dira avoir regardé l’ensemble des vidéos, toutes les vidéos ce qui le persuadera d’ailleurs de l’honnêteté et de la nécessité de témoigner pour aider aussi d’autres et futurs membres. Éric aura ensuite été le bon élève, s’embarquant dans l’aventure d’un groupe CQMI de rencontres en Ukraine, à Kiev, en bénéficiant de l’assistance des accompagnatrices et interprètes estampillées CQMI, valeur également sûre et importante cheville ouvrière de l’agence. C’est ici que finalement, en choisissant les bonnes personnes, dans sa zone de réussite et de confort, qu’il a réussit à découvrir Natalia, une Ukrainienne qui faisait partie dit-il « du milieu de sa liste de préférence ». Sa difficulté aura été au départ celle du choix, celui du contrôle des échanges, un avant voyage et rencontres qui selon lui auront été délicats à gérer.

Éric a fait des choix de profils avec une bonne différence d’âge

Comme d’autres, il aura choisi au départ des femmes d’une différence d’âge fixée entre 10 et 15 ans, avant de se rendre compte par lui-même, que 15 ans, voire plus, n’était pas dans son cas envisageable. Les rencontres feront qu’il tombera sous le charme, très logiquement de la femme la plus âgée de sa liste, une femme de 47 ans, pour une différence de 10 ans. Née en Crimée à l’époque de l’Union soviétique, diplômée et instruite, c’est en Ukraine qu’il l’aura rencontré mais c’est à Moscou que l’histoire s’est prolongée, ville où elle résidait après s’y être installée pour le travail. Éric épousera donc plus qu’une Russe, mais aussi la Crimée, région longtemps russe, poire de discorde finale avec l’Ukraine, dont elle s’est séparée (ou a été arrachée selon les opinions politiques). Cette difficulté aura été contournée par l’acquisition de Natalia de la nationalité russe, mais aura aussi emporté Éric de l’Ukraine vers la Russie, vers des horizons très proches mais aussi lointains, dans les neiges moscovites qui furent autrefois de sinistre mémoire, fatale aux Français de 1812 ! Pour Eric, il n’aura pas été question bien sûr de Bérézina, bien entendu, et bien au contraire, avec l’aide incroyable de l’équipe et des assistantes, c’est maintenant deux ans plus tard le moment de la préparation d’un mariage qui sera forcément très heureux (et qui aura lieu le 19 avril, à Moscou). Les assistantes, Eric en parle « comme un point essentiel de l’agence, à la fois secrétaire, interprète, psychologue, l’assistante rêvée d’un homme d’affaires ! ». Les autres points de réussite d’Éric auront été le groupe d’hommes CQMI, il dira avoir fait partie d’un excellent groupe, n’imaginant pas pouvoir vivre une telle expérience seul. Selon lui, le groupe apporte de l’enrichissement, un soutien, des discussions tardives le soir autour d’une bière, moments intéressants où chacun livrait ses impressions, donnant l’avis sur l’histoire et les expériences des autres et bien d’autres choses encore d’une solidarité qui existe bien entre les hommes CQMIstes.

Éric va se marier au mois d’Avril 2019 à Moscou avec Nataliya

Mais ces succès, Eric ne l’aura pas seulement dû à l’Agence CQMI, mais aussi à lui-même, sa capacité de s’exprimer correctement en langue anglaise aura joué, lui permettant de bien faire connaissance avec Natalia, sans parler de la nature de cette femme russe, qui m’a rappelé beaucoup ma propre épouse dans le commencement de nos rencontres. Natalia en effet a refusé qu’Éric lui finance son voyage en France, lui apporte de l’argent, tenant à payer ses voyages, dans une honnêteté et fierté très russe mais qui définit bien une grande majorité de femmes russes, de la classe moyenne ou légèrement supérieure. Ces femmes ne sont pas à l’Agence CQMI pour des raisons économiques, mais bien pour rencontrer enfin leur mari, c’est un projet d’émigration matrimonial qui est pensé, réfléchi et très fortement implanté dans leur esprit. Ces décisions ont été prises à tête reposée, selon une réflexion et un parcours de vie de longue haleine. C’est ce qui fait vraiment la qualité de beaucoup de femmes du CQMI, qui ne se sont pas inscrites sans raison et à la va-vite. Elles ont pesé le pour et le contre, elles ont bien compris qu’elles devront partir, qu’elles devront faire un grand écart très important, celui de l’expatriation, celui de l’émigration. Ce curseur d’émigration slave féminine, l’émigration matrimoniale est un phénomène qui a été peu décrit, mais qui méritait beaucoup d’attentions, nous essayons justement au CQMI d’en comprendre les raisons.

Les témoignages comme ceux d’Eric, surtout ceux parlant de l’émigration matrimoniale de femmes russes, notamment ici donc d’une femme née en Union soviétique, ayant fait sa carrière dans une république désormais indépendante (Ukraine), revenue dans le sein de sa patrie d’origine, puis candidate à l’émigration pour des raisons purement matrimoniales, sont rares et précieux. Les hommes qui comme Éric sont prêts à témoigner sont peu nombreux, rares, et ils livrent en fait un double témoignage, celui de leurs femmes, le leur et montre que malgré les propagandes le mariage franco-russe se porte très bien. Nous rappellerons qu’en 2016, la Russie se positionnait comme le troisième pays au monde à fournir une épouse à des Français, derrière l’Algérie et le Maroc, mais devant tous les pays voisins de la France et avec des chiffres en quantité de mariages doubles de ceux du début du siècle (années 200-2005). C’est un exploit remarquable, car la Russie n’est pas voisine de la France, bien au contraire, ces deux pays européens sont aux antipodes de l’Europe, ils ne se trouvent guère plus à l’Ouest que le Portugal, l’Espagne et l’Irlande. La Russie dépasse donc toutes les autres nations européennes, laissant loin derrière d’autres pays pourtant liés à la France, soit par les frontières, soit par l’histoire, comme la Belgique, la Suisse, l’Allemagne, l’Espagne ou l’Italie, mais aussi la Pologne, le Royaume Uni ou la Roumanie… tous sont derrière la Russie. Ces chiffres sont ceux de l’année 2016, données de l’INSEE… et donc du gouvernement français, il est probable que les mariages entre Russes et Français, entre Ukrainiennes et Français, augmentent d’ailleurs encore plus dans la situation actuelle des relations hommes et femmes en France.

Alors parmi les prochains, cela sera peut-être vous ?

 

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